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Spécialité

Notre spécialité : L’ÉCO-EFFICACITÉ ENERGETIQUE

L’éco-efficacité énergétique est un enjeu majeur pour l’avenir de la planète mais également pour notre quotidien. Agir pour l’éco-efficacité, c’est bien sûr faire des économies d’énergie tout en améliorant notre confort, mais c’est aussi réduire notre empreinte environnementale.

De plus, les prochaines décennies verront de gros bouleversements dans les coûts des énergies. Il y aura ceux qui ont des ressources et qui les vendront de plus en plus cher à ceux qui n’en n’ont pas et voudraient se développer – pour les autres ce sera l’immobilisme, voire la décroissance. Pour une meilleure compétitivité, on sera donc irrémédiablement obligés de réduire nos consommations sinon ce seront des emplois perdus et un retour à la prospérité impossible.

Le bureau d’études GARNIER peut vous aider à élargir vos connaissances en matière d’éco-efficacité énergétique et l’intégrer dans la réalisation de vos projets.

A la lecture des pages de notre site et aux travers de nos recherches et travaux vous découvrirez que notre engagement sur le sujet est total.

trophee ICO

Le bureau d’études GARNIER a été en 2009 le tout premier lauréat du trophée de l’ECO-EFFICACITE en catégorie bureau d’études pour avoir réalisé le Center Parcs du domaine de l’Ailette en Picardie, avec des installations propres à l’aquamundo procurant 45% d’économie d’énergie thermique et d’eau.

Vous envisagez de construire ou rénover des bâtiments pour qu’ils soient à basse consommation

Notre bureau d’études vous propose 3 services dédiés pour vous aider dans vos démarches :

L’assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO) Conception, qui consiste à réaliser avec le maître d’ouvrage (MO) un programme décrivant les objectifs de son projet.

On distingue 3 étapes :

  • Le programme (description du besoin utilisateur) : qui consiste à formaliser le « pourquoi » du projet et à décrire les possibilités de solutions à mettre en place avec leur environnement.
  • Le projet : qui consiste à décrire les solutions envisagées avec une estimation de leur coût global (rapport entre le coût de travaux et d’exploitation en tenant compte de la durée de vie des matériels).
  • Le contrôle de la performance : qui consiste à déterminer les indicateurs de performances énergétiques, à décrire les moyens de contrôle permettant de les vérifier à chaque étape du projet (de la conception à l’exploitation) et l’accompagnement du MO durant les travaux et au début de l’exploitation de façon à contrôler si les indicateurs de performance sont bien obtenus.

La conception et la maîtrise d’œuvre qui permettra

  • De réaliser un projet et de lancer un appel d’offres auprès d’entreprises compétentes, suivi d’une étude d’exécution et des installations conformes aux attentes.
  • De contrôler des travaux jusqu’à la réception.
  • De mettre en place les moyens de contrôle des indicateurs de performances énergétiques avec, si nécessaire, des travaux correctifs qui concourront à leur obtention ainsi que leur optimisation.

L’assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO) Exploitation, qui consistera à rédiger le contrat d’exploitation, de choisir le futur exploitant et de vérifier que les indicateurs de performances soient maintenus, voire améliorés.

Les clés de réussite pour construire ou rénover des bâtiments à basse consommation :

  • Une bonne synthèse de conception (travail d’équipe avec l’architecte et les autres bureaux d’études)
  • Une bonne synthèse d’exécution (travail entre entreprises avec l’arbitrage de l’équipe de conception)

Notre première mission sera de conseiller l’architecte dans la réalisation de bâtiments économes en énergie : bâtiments à énergie passive (BEPAS) ou à énergie positive (BEPOS). Nous lui donnerons les renseignements indispensables à leur conception en matière de forme, d’isolation thermique, d’orientation, de transparence et d’inertie thermique, etc.

Notre seconde mission sera de concevoir des bâtiments économes en énergie et agréables à vivre. Cette mission sera réalisée par des ingénieurs formés ou qui seront formés pour la circonstance. Ils utiliseront des outils réglementaires tels que les logiciels de calcul RT et des outils de conception comme la simulation thermodynamique dynamique (STD) ainsi que des méthodes de calculs personnelles que nous avons mis au point et qui ont été corroborées par des relevés de terrain.

Notre troisième mission sera de former les entreprises qui devront réaliser ces bâtiments pour les amener à comprendre nos choix afin d’offrir une meilleur réalisation et des performances accrues aux utilisateurs finaux.

Plusieurs approches dans l’éco-efficacité

Elle est fondée sur une utilisation optimale des énergies renouvelables (EnR) et des énergies fatales habituellement perdues, le tout sur la base d’interactions potentielles entre les systèmes.

Différentes étapes de réflexion dans l’éco-efficacité :

  1. Bâtiment actuel avec le minimum réglementaire,
  2. Bâtiment actuel 1 avec une part d’énergie renouvelable en plus (biomasse par exemple),
  3. Bâtiment futur 2 avec une part d’énergie renouvelable en plus (architecture passive par exemple),
  4. Bâtiment futur 3 avec la récupération d’une part d’énergie fatale en plus (récupération de chaleur sur l’air vicié par exemple).

EnR EnF étape 1

Exemples d’énergies renouvelables (ENR) qui seront examinés :

  • La biomasse, notamment le bois-énergie et la valorisation du biogaz,
  • La géothermie,
  • Le solaire thermique et électrique,
  • Les réseaux de chaleur qui seront alimentés pour au moins 50% par des énergies renouvelables ou de la chaleur de récupération pourront être soutenus aussi par le Fonds Chaleur Renouvelable,
  • Le free-cooling et le free-chilling,
  • etc.

Exemples d’énergies fatales issues des utilités qui seront examinés :

  • Les énergies de récupération issues des UIOM (usines d’incinération d’ordures ménagères,
  • Les chaleurs fatales perdues par les entreprises (data center, etc.)
  • L’énergie perdue sur les condenseurs des groupes frigorifiques ou machines à absorption (chaleur de réjection),
  • L’énergie perdue sur les compresseurs d’air comprimé et les pompes à vide (échauffement du fluide + échauffement de l’huile de lubrification),
  • L’énergie perdue sur les gaz brûlés de tous les types de brûleurs (chaudière eau, chaudière vapeur, etc.),
  • L’énergie perdue sur l’air extrait au niveau de la ventilation des locaux,
  • L’énergie non valorisée sur les installations issues de cogénérations
  • etc.

Puis vient en dernier les performances accrues par les générateurs eux-mêmes ou par leur environnement.

Exemples d’efficience énergétique qui seront examinés :

  • La performance du bâtiment (ensoleillement, isolation et inertie thermique, forme, FLJ, etc.),
  • L’introduction et le contrôle de l’EnR indirecte,
  • Le recours à l’EnR directe,
  • La récupération d’énergie fatale
  • Le recours à des matériels et systèmes performants :
  • Les chaudières à condensation,
  • Le choix des températures : 3°C de moins sur l’entrée du condenseur d’une chaudière à condensation permettra 1% de moins d’énergie consommée,
  • Les groupes de froid à paliers magnétiques,
  • Le choix des températures : 1°C de moins sur la production d’eau glacée permettra 3% de gain d’énergie consommée,
  • Le free-cooling et le free-chilling,
  • etc.

L’avenir tendrait à la réalisation de bâtiments à basse consommation, de type à énergie passive (BEPAS) voire à énergie positive (BEPOS), lesquels seront obligatoires dans le neuf en 2020.

4. Bâtiment futur avec une part d’énergie renouvelable : indirecte (architecture passive par exemple) et direct (biomasse par exemple) et de récupération d’une part de l’énergie fatale,

5. Bâtiment futur 4 avec une part d’énergie renouvelable en plus (solaire photovoltaïque par exemple).

EnR EnF étape 2